Et si quelque chose ne me plaisait pas ou me rendait inconfortable, on arrêterait.
C’était important pour moi qu’on discute de nos attentes, nos envies, nos limites. Nous l’avons même mis par écrit et signé tous les deux. (Je suis un peu intense, je sais)
Durant ces jours d’attentes (interminable pour lui) j’ai fait mes recherches.
Je regardais beaucoup de vidéos, je surfais sur plusieurs sites internet, page Facebook, pour avoir le plus d’informations possible. Je voulais l’impressionner… et ne pas avoir l’air trop novice.
J’y ai découvert un monde aux mille possibilités. Mais ce qui m’a le plus marqué, c’était que peu importe les informations que je trouvais, les règles (le respect, la sécurité, l’importance d’avoir un mot clé…) étaient vraiment mises de l’avant. C’était souvent la première chose dont on parlait.
Notre première rencontre était quelques jours plus tard. J’avais été faire un tour dans les boutiques pour m’acheter de la nouvelle lingerie, des souliers, des accessoires. Je voulais avoir l’air d’une vraie Dominatrice. Je voulais que, lorsqu’il me regarde, plus rien d’autre n’allât compter. Je voulais qu’il aille le souffle coupé.
Pour notre première fois, je l’ai invité chez moi.
(Ma meilleure amie habitait la maison juste à côté de la mienne et elle avait ordre de venir chez moi si elle entendait quoi que ce soit d’étrange, ou si je ne la textais pas à l’heure convenue.) On n’est jamais trop prudent. D’autant plus que je ne connaissais pas depuis très longtemps mon soumis.
(Ma meilleure amie habitait la maison juste à côté de la mienne et elle avait ordre de venir chez moi si elle entendait quoi que ce soit d’étrange, ou si je ne la textais pas à l’heure convenue.) On n’est jamais trop prudent. D’autant plus que je ne connaissais pas depuis très longtemps mon soumis.
Voici un aperçu de notre conversation :
M : Ce soir, tu viens chez moi. Tu arrives avec UNE valise de stock. Pas deux, pas trois, pas de sacs. Une valise. Je te veux habillé d’une jupe courte noire,
une camisole moulante, des fishnet et
des ''fuck-me-boots ''.
une camisole moulante, des fishnet et
des ''fuck-me-boots ''.
S : Oui Maîtresse.
M : Et tu te stationnes devant chez moi. Je veux que les autres te voient traverser le boulevard habiller comme ça.
S : Oui Maîtresse.
M : Et ne sois pas en retard.
S : Oui Maîtresse.
C’est à ce moment que je me suis dit : Ayoye, est-ce que je suis vraiment en train de faire ça? Entre vous et moi, j’étais tellement stressée!
Il est arrivé quinze minutes plus tard que l’heure convenue.
Quand j’ai ouvert la porte, la première chose que je lui ai dite c’est :
M : Tu es en retard.
S : Je m’excuse, il y avait du trafic…
M : Je ne t’ai pas demandé pourquoi tu étais en retard. Maintenant, prends ta valise, va installer les attaches après mon lit et mets tous les accessoires sur mon bureau. Quand tu seras prêt, tu viendras me chercher dans le salon.
S : Oui Maîtresse.
Quelques minutes plus tard, j’entends ses talons dans les escaliers. J’étais assise sur l’accoudoir du divan, les jambes croisées. Je lui ai fait signe de venir près de moi.
M : Viens ici, j’ai une surprise pour toi.
S : Merci Maîtresse.
M : Ne me dis pas merci tout de suite, tu ne sais pas ce qui t’attend…
Madame M.
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